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Acheter un hameau pour vivre en communauté : démarches, cadre légal, financement

Vous rêvez de vivre autrement : écologie, mieux vivre-ensemble... ? Vous pouvez acheter un hameau pour le prix d'une maison, et vivre en communauté selon vos propres règles. Mais quelles sont les démarches, les lois, les possibilités de financement ?
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Vous rêvez de liberté et d’un retour aux fondamentaux ? Vous êtes attirés par le mieux vivre ensemble, l’écologie, vivre proche de la nature, et vous êtes séduits à l’idée de rejoindre une communauté qui partage les mêmes valeurs de vie et les mêmes valeurs humaines que vous ?  

Sachez qu’il est possible de devenir propriétaire d’un petit village pour le même prix qu’une maison, pour peu de rester à l’affût de telles opportunités ! De quoi envisager de créer un écovillage et de vivre en communauté. Beaucoup de possibilités s’offrent à vous, avec tout autant de détails juridiques et de démarches que nous allons vous présenter sans tarder.

Acheter un petit village pour le même prix qu’une maison

Face à la lente désertification de leurs campagnes, certains maires ruraux tentent d’inverser la tendance et décident de céder une partie de leur commune à des prix défiant toute concurrence. En France, on trouve des dizaines de hameaux en vente, comme le hameau de Kerveno en Bretagne, comprenant cinq maisons avec dépendances pour la somme dérisoire de 130 000 euros. Ce phénomène peut paraître exceptionnel, mais il n’a rien d’un cas isolé, on l’observe partout en Europe.

Les hameaux en vente à l’étranger : Espagne, Italie

En Espagne, on dénombre aujourd’hui plus de trois mille villages abandonnés, mis en vente pour un budget généralement compris entre 200 000 à 500 000 euros.

En Italie, les maires proposent même des maisons à l’achat pour le montant symbolique de 1 euro comme à Sambuca en Sicile ou dans le village de Ollolai en plein cœur de la Sardaigne.

Acheter un hameau pour vivre en communauté : c’est possible !

Et c’est un pari réussi ! Depuis quelques années, l’achat de ces hameaux délabrés a le vent en poupe. Beaucoup de communautés alternatives font le pari de leur réhabilitation. L’écohameau de Sainte Camelle, situé en Ariège, est un excellent exemple de réussite. Suite à l’achat et la rénovation de son corps de ferme en 2011, le lieu compte aujourd’hui une vingtaine de logements dont deux cabanes dans les arbres, réservées à l’accueil de visiteurs curieux de découvrir la vie en écovillage.

Dans le nord de l’Espagne, la communauté Arterra Bizimodu, active depuis 2012 s’enorgueillit de la réhabilitation d’un ancien collège. L’écolieu accueille aujourd’hui plus d’une cinquantaine de résidents et une vie associative foisonnante.

En Italie, le petit village médiéval de Torri Superiore, idéalement situé entre mer et montagne est un lieu pionnier dans la réhabilitation écologique. Le lieu accueille une dizaine de personnes depuis plus d’une trentaine d’années et fonctionne grâce à l’écotourisme et l’organisation d’événements culturels.

Vivre dans un village en communauté à moindre coût

Si le rachat et la restauration de ces hameaux en ruine relèvent du challenge pour des acheteurs isolés, ils représentent une véritable aubaine pour des collectifs souhaitant se rassembler pour vivre libre des injonctions de la société de consommation.

Des coûts de rénovation et de construction considérablement réduits

Même s’il s’agit de rester réaliste et de savoir déléguer certains travaux spécifiques à des professionnels, la rénovation collective implique de vrais avantages financiers. Au-delà de la mise en commun des moyens financiers à court terme, c’est bien le partage des compétences et savoirs-faire de chacun qui permet à long terme de relever le défi d’une société résiliente, si ce n’est autosuffisante.

Vivre autrement : une solution qui profite aussi bien à la nature qu’à l’humain

Ces lieux, où l’écologie règne en maître, proposent une nouvelle façon d’habiter le monde, plus respectueuse et solidaire sans pour autant mettre le bien-être de côté. Les toilettes sèches remplacent le tout-à-l’égout, les bassins de phytoépurations se substituent aux traitements chimiques des eaux usées et le jardin potager partagé est un garde-manger intarissable ! Il n’est pas non plus question de laisser Internet au placard : ils existent même des solutions pour une utilisation écologique d’Internet grâce à des opérateurs locaux comme le réseau Résine ou Sameswireless.

Grâce à l’articulation d’activités artisanales et agricoles mais également pédagogiques ces lieux proposent de recréer une société à taille humaine et indépendante du système économique. Véritables laboratoires de la transition écologique et solidaire, les écovillages relèvent le défi d’une vie communautaire respectueuse de l’environnement et durable.

Comment trouver des hameaux ou villages en vente ?

Il existe plusieurs manières de trouver des hameaux ou petits villages à acheter. Cependant, l’aventure n’est pas aisée : les biens sont rares et difficiles à dénicher, et il n’existe pas encore de plateforme spécialisée dans la vente de ce genre de biens en France. Nous n’avons malheureusement pas de solutions miracle à vous proposer, mais nous pouvons vous donner quelques pistes à suivre.

Adresser un projet d’achat d’un hameau à la mairie

La plupart des villages et hameaux abandonnés appartiennent aux communes. Il est donc nécessaire de rentrer directement en contact avec les autorités locales pour entamer des démarches en vue d’acquérir une maison ou abandonnée. En pratique, il suffit d’adresser un projet d’achat, par écrit, au maire. Votre demande sera traitée par délibération du conseil municipal.

Se tenir informé de ces opportunités immobilières grâce à l’actualité

En France, le pas n’est pas encore franchi et c’est principalement au travers d’articles de journaux en ligne que l’on retrouve ces biens atypiques. Cette étonnante couverture médiatique témoigne de l’opportunité financière inédite que représente l’achat d’un hameau.

Contacter des agences immobilières

Le marché immobilier s’adapte doucement à ce nouveau type de biens. On commence à trouver des agences immobilières spécialisées dans la vente de villages abandonnés comme l’agence Aldeas Abandonadas, leader des ventes sur le marché espagnol.

Vous pouvez donc vous adresser à des agences immobilières dans la zone où vous souhaiteriez faire une telle acquisition, dans un premier temps en consultant les biens en vente sur leur site, ou en leur téléphonant directement. Cela peut être une bonne piste à suivre, car le monde de l’immobilier est petit, et même si l’agence que vous contactez ne dispose pas de tels biens atypiques, son réseau professionnel pourrait jouer en votre faveur !

Le cadre juridique : acheter un village et vivre en communauté

Sortir de la société de consommation pour adopter un style de vie communautaire, durable et en harmonie avec l’environnement peut, à raison, donner envie de se jeter à corps perdu dans le projet. Attention cependant, l’aventure n’a rien d’anarchique. Bien se renseigner pour adopter le statut juridique adéquat est indispensable.

Acheter un hameau : que dit la loi

Légalement, on n’achète pas un village à proprement parler. On fait l’acquisition d’un lot de biens. Ainsi, bien qu’il s’agisse d’un bien immobilier atypique, il vous faudra suivre les étapes d’un achat immobilier classique.

Mais, comment faire l’acquisition d’un bien immobilier au nom d’une communauté ?

Il n’existe pas de réponse type. La notion d’écovillage ne repose sur aucun fondement juridique, il s’agit uniquement d’un concept de vie. Il vous appartient donc de trouver le statut juridique sous lequel évoluera votre collectif pour procéder à l’achat. Le choix de votre statut dépendra de votre conception de la gestion d’un bien en communauté. Quel équilibre souhaitez-vous entre habitats individuels et lieux de collectivité ? Comment souhaitez-vous distribuer le pouvoir de décision entre les membres ? Nous vous aidons à faire le tri.

  • L’achat en indivision : c’est la méthode d’achat la moins contraignante et avec la SCI la plus solidaire à proprement parler. Choisir d’acheter en indivision permet de rendre chaque membre de la communauté propriétaire du lieu, en fonction de sa contribution financière. L’avantage est que la quote-part de chaque membre ne correspond pas à une partie spécifique mais à l’ensemble du bâtiment. Tout appartient à tout le monde, mais dans des proportions différentes. Les décisions doivent donc être prises à l’unanimité.
  • Adopter le statut d’une Société Civile Immobilière (SCI) : Ce statut est similaire à l’achat en indivision, sauf que vous faites le choix de fonder une société. L’ensemble des biens appartiennent à la société et par conséquent aux associés la composant. L’avantage de cette méthode réside dans le fait qu’une SCI est reconnue et supportée plus facilement par les banques. C’est la méthode idéale si vous avez besoin d’un prêt. Au niveau décisionnaire, le régime classique des SCI est le quota 1 part = 1 vote. Il est par ailleurs possible de modifier les statuts au moment de la création et choisir, 1 foyer = 1 voix ou comme certaines communautés la formule 1 personne = 1 voix en incluant les enfants.
  • La société civile immobilière d’attribution (SCIA) : Avec cette méthode, la propriété dans son ensemble appartient à la communauté, mais elle est divisée en lots. Chaque lot appartient à un associé. Cette méthode d’achat permet également d’accéder aisément à un prêt bancaire. Ça a été le choix du collectif Le Cammas Blanc.
  • La copropriété : Cette méthode permet de diviser le village en lots, chacun étant composé d’une habitation privative et de tantièmes des parties communes. Ce statut est simple à mettre en place et à l’avantage d’être flexible. Grâce à l’établissement du règlement intérieur lors de l’acte d’achat, les différentes parties doivent choisir les modalités de vie et de partage.
  • Fonder une association loi 1901 : Il est légalement possible de réaliser l’achat d’un bien foncier grâce au statut d’association loi 1901. Mais c’est un choix peu recommandable, les associations inspirent peu confiance aux banques et n’offrent que très peu de sécurité en cas de problèmes.

Vivre en communauté : quel est le cadre légal ?

L’objectif de cet article, au-delà de vous aider à définir votre projet, se veux être préventif : 90% des écolieux échouent dès leur première année d’existence à cause d’un manque de communication et d’organisation interne. Il est donc primordial d’offrir à votre projet une base solide et de déterminer, au plus tôt, les valeurs fondamentales et le type de gouvernance que vous souhaitez pour votre communauté. Il vous revient de trouver le juste équilibre entre liberté collective et individuelle et le retranscrire au mieux dans votre charte.

La définition des règles communes est la pierre angulaire de votre communauté. Chaque écolieu dispose de son propre règlement de vie régissant les modalités d’habitation, répartition des bénéfices, fréquence des réunions, méthodes de vote, les conditions de retrait du projet, etc. A titre informatif, la plupart des écolieux déjà établis affirment avoir maturé le projet 6 mois à 2 ans en amont de l’achat.

Déterminer le statut juridique de sa communauté

Vivre en dehors de la société ne veut pas dire vivre en hors-la-loi. Il est nécessaire de se soumettre aux lois en vigueur dans le pays et d’officialiser votre communauté, particulièrement si vous souhaitez en faire le lieu d’une économie locale partagée. Ce statut doit être choisi en fonction des activités que vous souhaitez mener au sein de votre écovillage.

  • Fonder une association : l’association est un incontournable de la vie en communauté. Elle permet d’encadrer juridiquement toutes les activités à but non-lucratif ayant lieu dans votre hameau. C’est le statut juridique le plus flexible en France, vous pouvez modeler votre association à l’image de votre écovillage.
  • Les Sociétés Coopératives et Participatives(SCOP): c’est le seul modèle de coopérative où les associés sont aussi les salariés. Sans mauvais jeu de mots, le modèle des SCOP est la formule de coopérative la plus coopérative.
  • Les Sociétés Coopératives d’Intérêt Collectif : les SCIC ont la particularité de pouvoir intégrer des autorités locales dans le capital de la société, ce qui permet d’obtenir la reconnaissance de votre projet par les instances locales et pourquoi de travailler main dans la main.
  • Les GAEC et GFA : Si votre village repose principalement sur une activité agricole alors il est intéressant de vous renseigner sur des statuts plus spécifiques comme les groupements agricoles d’exploitation ou les groupements fonciers agricoles.

Les statuts juridiques peuvent et doivent être utilisés en complément l’un de l’autre pour couvrir l’ensemble de vos activités collectives et les pérenniser. Voici par exemple, le montage juridique choisit par le collectif Demain en main.

  • Une SCIC : créée pour gérer l’achat du lieu et la gestion du patrimoine collectif ;
  • Une coopérative d’habitants : qui loue les habitations à la SCIC ;
  • Une SCOP agricole : qui permet d’encadrer juridiquement la production agricole locale des sept associés en activité sur le terrain ainsi que la gestion de la future auberge ;
  • Une association : qui accompagne le développement de l’éco-lieu via des activités de communication, événementielles et des recherches en permaculture.

Comment financer un projet de village communautaire ?

Bien que l’objectif du projet soit d’atteindre la frugalité économique, il reste nécessaire de prévoir un plan de financement initial viable.

Comment financer un achat immobilier et solidaire à plusieurs ?

L’investissement financier initial de votre projet dépend de la condition du lieu et des compétences manuelles du collectif. Dans certains cas, la mise en commun du patrimoine financier de chacun n’est pas suffisant pour couvrir l’ensemble des frais. Des alternatives de financement doivent être envisagées et là encore il est possible de s’appuyer sur la solidarité.

Financer l’achat d’un hameau grâce au crowdfunding

Le crowdfunding est la solution de financement participatif la plus connue. Des personnes tierces contribuent à votre projet en échange de quoi vous leur proposez une contrepartie à hauteur de leur contribution. Il peut s’agir de goodies, de workshops ou même de nuits dans votre écovillage pour les plus gros donateurs.

Acheter un petit village grâce au crowdlending

Vous pouvez également miser sur le crowdlending. Il s’agit d’un prêt participatif. Au lieu de vous adresser aux banques, vous pouvez obtenir un prêt provenant de particuliers intéressés dans votre démarche. Le principe ne change pas ; vous devrez rembourser les contributeurs selon un échéancier déterminé et en incluant des intérêts.

Utiliser des plateformes spécialisées dans le financement participatif et solidaire

Il existe une multitude de plateformes spécialisées dans les projets éthiques et responsables comme Zest, Bluebees ou Ulule, la plus connue. Si vous développez un projet d’écovillage visant la redynamisation de votre région vous pouvez miser sur des crowdfundings régionaux, comme Jadopteunprojet.com en Nouvelle-Aquitaine.

Financer son projet de communauté par des co-financements ou un prêt bancaire

Vous pouvez également décider de profiter de co-financements public-privé grâce à la plate-forme en ligne Collectivity ou le choix du statut de SCIC pour votre communauté.

Comme tout projet de rénovation, les prêts auprès des banques sont tout à fait envisageables. Mais gardez en tête que dans ce cas, le statut juridique de société est préférable.

Acheter un hameau : aides à la rénovation de biens immobiliers et avantages fiscaux

Il existe plusieurs aides à la rénovation de la part de l’État comme l’éco-prêt à taux zéro. Vous pouvez également bénéficier de l’aide Agence Nationale de l’habitat. Vous pouvez par exemple prétendre à l’aide MaPrimeRénov’ à titre individuel ou de copropriété pour vous aider dans la rénovation énergétique du bâtiment. Il existe également plusieurs aides de l’ADEME dans le cadre de France Relance et notamment l’« ADEME Tremplin transition écologique » pour tout projet incluant éco-conception et/ou économie circulaire.

Aides régionales et communales pour rénover votre hameau

Des aides régionales à la rénovation sont également disponibles. Elles divergent d’une région à l’autre, nous vous conseillons de vous adresser directement au conseil régional dont votre village dépend. Dans un premier temps, vous pouvez également vous renseigner auprès des mairies.

Les aides des Fondations pour la rénovation et la transition écologique

Vous pouvez vous rapprocher de la Fondation de France. Elle offre une aide financière et méthodologique à tout projet collectif dont l’objectif est d’accompagner la transition écologique.

La Fondation du Patrimoine peut également être d’une aide précieuse pour le financement ou l’accompagnement dans les démarches de réhabilitation. Vous pouvez faire une demande de label auprès de la fondation pour vous permettre de bénéficier d’aides supplémentaires et la défiscalisation de vos travaux.

Vous pouvez également inscrire votre hameau à l’Inventaire des monuments historiques, ce qui pourrait vous permettre de vous faire rembourser une partie des travaux, à condition d’avoir recours à des artisans affiliés par les Bâtiments de France.

Faire appel à la solidarité pour la rénovation de biens immobiliers : le chantier participatif

Lancer un appel à chantier participatif est une alternative solidaire à la recherche d’aide financière. Les volontaires sont légion et des amoureux du bricolage pourraient venir pour vous prêter main forte.

Les avantages fiscaux pour l’achat et la rénovation de biens anciens

Certaines communes, proposent une exonération partielle ou totale de la taxe foncière pour des bâtiments construits avant 1989. Nous vous conseillons encore une fois de vous référer aux autorités locales avant d’entamer vos travaux. Vous aurez peut-être droit à d’autres avantages fiscaux, nous vous conseillons de vous renseigner auprès d’une agence immobilière ou tout autre spécialiste compétent.

Contacter ou rejoindre un village communautaire existant

Même s’ils souhaitent vivre en autosuffisance, les écohameaux n’ont pas vocation à se replier sur eux-mêmes. Bien au contraire, ils vous accueillent à bras ouverts et c’est la meilleure ressource à votre disposition pour peaufiner votre projet.

Contacter une communauté pour obtenir des conseils pour son projet

La maturation d’un projet d’écolieu est un processus de longue haleine. Même si plus de 1500 écolieux en France ont déjà ouverts la voie, les démarches juridiques et financières peuvent être laborieuses et éprouvantes. Prendre contact avec des écohameaux déjà établis pour collecter leurs expériences semble judicieux.

Beaucoup d’écohameaux proposent des ateliers abordant les différentes démarches à suivre pour créer à votre tour votre écolieu. Il est également possible de vous rendre directement sur place à l’occasion d’une visite ou pour un court séjour. Les écolieux regorgent de possibilités pour vous faire partager leurs savoir-faire.

Rejoindre une communauté existante

Rejoindre une communauté existante reste l’option la plus confortable pour tout foyer n’ayant ni les compétences, ni même l’envie de créer leur propre écolieu. Beaucoup d’écovillages déjà établis proposent l’achat ou la location de leurs habitations.

Attention cependant, prendre le temps de découvrir plusieurs lieux avant de vous lancer dans l’aventure est primordial. Surtout si vous êtes en famille. La vie en communauté est le cœur battant d’un écolieu, l’entente avec les habitants du collectif est indispensable et doit être réciproque. Un processus d’intégration est donc très fréquemment rencontré lors de l’arrivée d’un ou plusieurs nouveaux membres.

Vous pouvez également vous joindre à une communauté à court terme en tant que visiteur, volontaire ou même en tant que wwoofer, pour vivre et apprendre dans des fermes biologiques. Vous l’aurez compris, les possibilités pour vivre mieux, et vivre autrement au sein d’une communauté ne manquent pas ! En attendant, vous pouvez toujours vous essayer à la permaculture ou autres pratiques eco-responsables.

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